Clap de fin

Voila, c’était le 11 juillet 2025 vers 17h30 :

De gauche à droite, Marius, Michel, Flore, ma pomme avec une main sur l’épaule d’Anita ; derrière elle : Adrien et, bras croisés comme le chêne qu’il est : Jean-Paul. Nous venions tous de relacher la pression. Le der de la journée venait d’être tourné dans la (fausse) chambre d’urgences de l’ISIS (école qui forme des informaticiens aux spécificités du monde hospitalier) de Castres. Et c’était en même temps le der des ders du tournage.

La veille il y avait eu 3 scènes de difficile dialogue (de sourdes) entre les deux amies Pascale-Anita et Mary-Flore aux Champs du Sud (merci pour l’accueil). L’une cherchant à convaincre l’autre de participer à son projet de docu, et la seconde trop barrée dans son radical-monde de squats, de rock et de punk pour entendre.

Et puis, pour revenir au soir du 11/07: fête de fin de tournage à la guinguette de Vielmur. Beaucoup n’ont pas pu venir: Paquita (en Bretagne), Jean-Pierre (coincé chez lui du côté d’Angers pour raisons de santé), Laurent (idem mais à Gaillac), Jean-Louis (en Suisse), Mariamina (en stage), Amilhia (retenue à la dernière minute)… mais on a bien pensé à eux et on s’est bien marré aussi.

De gauche à droite : Marius (stagiaire promu au grade de perchman), Flore-Adrien-Anita (le trio d’enfer, bourré de talent et d’énergie, quel bonheur de diriger des acteurs pareils), Thierry (merci pour le soutien de la mairie de Lautrec), Chantal (rôle de Jacqueline), Aurélia (rôle, qui ne lui correspond tellement pas, de la mère violente), ma pomme (toujours la main sur une épaule féminine), Guilaine (qui passait par là), la fille et l’épouse de Thierry, Michel (bras levé pour se soulager d’avoir poussé autant de travellings) et Florence (re-merci à la mairie de Lautrec). Mais il y avait aussi Valérie qui était partie avec Ulysse au bord de la rivière au moment de la photo, ainsi que Béatrice et Ginou qui faisaient la même chose mais plutôt pour se reposer les oreilles de la musique… Sans oublier bien sûr Jean-Paul qui ne peut pas être devant puisqu’il est derrière l’appareil.

Au programme maintenant : montage pour sublimer toutes ces images, tous ces sons, mais aussi pour tenter de ne pas sombrer dans la mélancolie après avoir vécu ensemble de tels moments de bonheur !

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